Note de la rédaction: Pendant la crise du COVID-19, notre équipe a temporairement cessé de prendre des voyages d’examen. Au lieu de cela, nous avons publié une sélection de critiques populaires de ces dernières années — comme cette revue de vol d’octobre 2019 — ainsi que la reprise de la publication de nouvelles critiques de vols, d’hôtels et de salons inédites, de voyages effectués avant le verrouillage. Nous espérons que cela vous aidera à choisir une fois que nous serons tous prêts à recommencer à réserver des voyages.

Cet avis couvre un vol à partir de 2019, et vous pouvez vous attendre à ce que votre expérience soit différente aujourd’hui.

Pendant des années, Turkish Airlines a exploité l’un des meilleurs produits de classe affaires au monde, malgré son une configuration de sièges 2-2-2 datée (et même 2-3-2 sur le 777-300ER). La restauration exceptionnelle du transporteur et son service généralement excellent ont toujours valu à la Turquie un classement de premier ordre parmi les critiques et les voyageurs.

Maintenant, avec l’introduction tant attendue du Boeing 787-9 Dreamliner, Turkish peut vraiment rivaliser avec un produit dur convaincant, complétant son programme de restauration renommé avec un siège allongé privé beaucoup plus moderne.

Réservation

Naturellement, après avoir déjà examiné les produits Airbus A330 et Boeing 777-300ER, j’avais hâte d’essayer le 787-9 Dreamliner de Turkish. J’ai fini par réserver un billet aller-retour entre Istanbul et Atlanta avec un retour économique pour un prix raisonnable de 1 645 $ (1 253 £).

J’ai crédité mon vol sur United MileagePlus, gagnant 100% de miles éligibles et échangeables pour le vol de 5 774 milles.

Bien qu’il n’y ait pas de disponibilité pour les États-Unis autour de mes dates de voyage prévues, vous pouvez trouver des récompenses en classe affaires sur le 787-9 de temps en temps, et comme la compagnie aérienne fait partie de Star Alliance, il existe de nombreuses façons de réserver, y compris via Air Canada Aéroplan, Aviana LifeMiles, Singapore KrisFlyer et United MileagePlus.

Expérience au sol

Cela a été quelques mois très occupés pour le Turc. En plus du récent lancement de Dreamliner, le transporteur a déménagé dans un tout nouveau hub, souvent simplement appelé « Nouvel aéroport d’Istanbul ».”

Le salon de classe affaires de l’ancien hub était spectaculaire, mais le reste du terminal laissait beaucoup à désirer.

C’est, tout simplement, un tout nouveau monde pour les transporteurs turcs et tous les autres transporteurs et leurs passagers qui transitent par IST.

Le nouveau terminal est massif, donc je recommande d’arriver assez tôt pour passer toutes les différentes lignes — en commençant par un point de contrôle de sécurité juste pour entrer dans le bâtiment — et de vous rendre à votre porte, ce qui dans de nombreux cas peut nécessiter beaucoup plus de marche que ce à quoi vous vous attendiez normalement.

Vous voudrez peut—être même référencer une carte lors de votre première visite – j’ai trouvé que les zones d’enregistrement étaient bien marquées, mais il pourrait être difficile de vous repérer au début.

J’ai été déposé par la zone d’enregistrement économique de Turkish, par exemple, et la marche vers la classe affaires a pris au moins quelques minutes.

Finalement, j’ai trouvé mon chemin, en me promenant dans l’espace d’enregistrement dédié à la classe affaires.

Le hall d’enregistrement en classe affaires était presque entièrement vide – contrairement à economy, il n’y avait pas de kiosques ici, donc si vous n’imprimiez pas votre carte d’embarquement en ligne (je recevais un message d’erreur lorsque j’essayais), vous deviez vous rendre chez un agent.

Pourtant, le processus était assez rapide, et j’étais en route en seulement une minute ou deux.

Il était clair que le Turc se concentrait sur l’amélioration de l’expérience des voyageurs de classe affaires dans tous les domaines. Il y avait même une zone « fast track” dédiée à l’immigration et à la sécurité, également accessible aux membres de Star Alliance Gold et aux élites turques.

J’ai traversé en quelques minutes et je me suis retrouvé dans la zone de départs absolument énorme.

De là, c’était une promenade décente jusqu’au salon d’affaires de Turkish Airlines, que nous avons examiné en détail il y a quelques mois à peine.

Normalement, je passerais dans un salon si nous avons déjà un examen détaillé, mais cet espace était particulièrement excitant, donc je reviendrai rapidement sur certains des points forts ici.

Tout d’abord, il y avait beaucoup à faire, même si vous n’aviez pas l’intention de manger ou de boire. Il y avait une section de télévision géniale, avec un énorme écran 12 et une installation artistique au coin de la rue.

Il y avait aussi une variété de journaux locaux et internationaux.

Il y avait aussi un espace amusant pour les enfants, avec une machine à pop-corn.

Le plus excitant de tous était cette petite maquette d’avion.

Il y avait même une plate-forme PlayStation à l’intérieur de la « cabine » — c’est cool?

Et, bien sûr, il y avait beaucoup d’opportunités pour obtenir votre grub.

Le Smack dab au milieu était une impressionnante sélection de mezze, avec une grande variété de salades et autres plats froids.

C’est là que j’ai trouvé la zone d’échantillonnage des olives de Turkish, que, heureusement, le transporteur a apportée de l’ancien salon de l’aéroport.

Il y avait aussi de nombreuses stations de restauration chaude, dont la plupart étaient composées de chefs de Turkish Airlines.

Je m’attendais à une tonne de nourriture à bord, donc j’ai gardé les choses assez légères, mais je ne pouvais pas laisser passer une visite au bar à nouilles chinois.

La sélection de desserts valait également le détour, avec une variété de friandises turques.

Vous pouvez également choisir parmi une sélection de gâteaux. Que vous préfériez le salé ou le sucré, vous n’aurez pas faim ici.

La sélection des boissons était également sur le point.

Il y avait un café-bar avec personnel dans le salon principal et une zone de dégustation de thé sur le côté.

Il y avait aussi quelques stations de boissons en libre-service, avec une sélection assez robuste d’alcool.

Les places assises étaient également nombreuses. Bien que le salon était certainement bondé lors de ma visite, il y avait encore beaucoup d’espace pour camper.

Certains invités traînaient dans les grands espaces ouverts donnant sur le terminal, tandis que d’autres préféraient traîner dans certaines des pièces latérales.

Le salon offrait également une bagagerie et une poignée de postes de travail informatiques.

Enfin, il y avait 12 douches, et je n’ai pas du tout eu à attendre pendant ma visite de midi. Il y avait également 13 salles de sieste privées, qui ne pouvaient être réservées que si vous attendiez un vol long-courrier avec une connexion de quatre à neuf heures.

Chaque salle de douche était bien équipée avec des serviettes, des peignoirs et des articles de toilette, bien que mon distributeur de savon de douche soit à court de savon. Des kits dentaires et de rasage étaient disponibles sur demande.

La situation Wi-Fi était un peu gênante: Pour accéder à Internet, il fallait trouver un kiosque spécial et scanner votre carte d’embarquement, à quel moment vous avez reçu un petit bulletin de connexion.

Cela a compliqué la connexion en ligne, mais le Wi-Fi était décent une fois que j’ai pu me connecter.

Juste avant de partir, j’ai remarqué un modèle amusant d’Istanbul et de l’aéroport, ce qui a contribué à créer plus d’excitation pour mon vol.

De là, c’était une longue marche jusqu’à ma porte — environ 10 minutes de marche en puissance, bien que des poussettes soient également disponibles (mais pas quand j’en avais besoin, apparemment).

Il y avait apparemment des possibilités infinies de magasiner et de manger dans le terminal, mais avec beaucoup de choses à vérifier dans le salon, je n’avais pas assez de temps pour explorer le reste de l’IST.

Les voyageurs habitués à l’ancien aéroport d’Istanbul apprécieront certainement de nombreux aspects du nouveau terminal.

Il y avait des endroits confortables pour attendre votre vol même si vous n’aviez pas accès à un salon.

Et les vues de l’aéroport étaient incomparables, en particulier depuis le salon.

Finalement, j’ai traversé le terminal et j’ai commencé mon approche finale vers la porte.

Notre vol partait d’A4A, qui, j’ai vite découvert, était une porte de bus. Turkish utilisait également la même zone pour fournir un contrôle secondaire aux passagers se dirigeant vers Chicago O’Hare (ORD), la scène était donc un peu chaotique.

Finalement, j’ai localisé la zone de classe affaires et j’ai traversé et rejoint le bus, où nous avons attendu à bord pendant environ 10 minutes.

Finalement, nous sommes arrivés à l’avion, près de 40 minutes après que je suis sorti du salon.

Certains passagers sont clairement agacés de devoir faire face à une porte de bus, mais je préfère souvent — Je veux dire, il suffit de consulter cette vue d’embarquement!

Cabine et siège

Les Dreamliners de Turkish offrent un total de 30 sièges en classe affaires répartis sur huit rangées.

Les sièges sont en configuration 1-2-1 décalée. Les sièges centraux des rangées impaires sont plus rapprochés les uns des autres, ce qui les rend meilleurs pour les couples.

Pendant ce temps, les sièges de fenêtre dans les rangées paires sont de loin les plus privés, car ils sont juste contre les fenêtres.

Il y a trois toilettes, ce qui donne un ratio passager/lavabo de 10 à 1 assez décent. Ils sont de la variété Dreamliner standard, avec des commandes sans contact, bien que Turkish ait ajouté un diffuseur de parfum, une lotion et des équipements Molton Brown haut de gamme pour les égayer.

J’ai décidé d’accrocher un siège à l’arrière de la cabine, en supposant correctement que les passagers se verraient attribuer des sièges de l’avant vers l’arrière. En conséquence, les trois sièges près du mien ont fini par être vides.

En fait, mon choix était si privé que vous pouvez à peine le voir sur la photo ci—dessous – c’est 8K qui regarde derrière 7K, qui fait face à l’allée et est beaucoup plus exposé.

8K et 8A à bâbord sont les plus privatifs de la cabine. Ils sont également les plus proches de la cuisine arrière, mais le bruit et la lumière ne m’ont pas dérangé un peu.

J’ai trouvé que les sièges étaient une énorme amélioration par rapport à l’ancienne variante de Turkish, avec une intimité importante, en particulier aux fenêtres.

Il y a aussi plus de stockage, mais toujours pas une tonne.

Les compartiments étaient limités à un compartiment à chaussures sous le pouf, par exemple

along avec une petite zone de rangement refermable au-dessus de la table d’appoint.

J’ai trouvé que même les sièges éloignés des cloisons avaient beaucoup de place pour mes pieds, ce qui rendait la sieste particulièrement confortable.

Les commandes du siège sont clairement marquées mais difficiles à trouver au début — appuyez simplement sur le panneau et toutes les options s’allument.

Chaque siège dispose d’un contrôleur à écran tactile filaire, d’une prise casque, d’une prise de courant universelle et d’un port USB — tout cela a très bien fonctionné pendant mon vol.

J’ai trouvé le lit et la literie confortables, même si je n’aimais pas que la coque du siège obstrue une partie de la fenêtre.

Le meilleur de tous, les bouches d’aération dédiées installées par Turkish facilitent le contrôle de la température autour de mon siège.

Je sais que j’ai déjà mentionné cela, mais le niveau de confidentialité est vraiment nuit et jour par rapport aux produits A330 et 777 de Turkish.

J’ai fini par aimer mon compagnon de siège la dernière fois, mais j’étais aussi parfaitement heureux de ne pas avoir à interagir avec quelqu’un d’autre.

Équipements et IFE

Quand il s’agit de voler en Turc, l’aspect que je trouve le plus mémorable est la nourriture. Et c’était certainement le cas cette fois-ci aussi.

L’expérience culinaire a vraiment commencé avec le menu: Il semblait continuer encore et encore.

La sélection de vins était particulièrement impressionnante, avec trois vins blancs, cinq rouges, du champagne Taittinger, une rose turque et un porto.

Ce qui n’était pas aussi impressionnant, c’était la vitesse à laquelle les boissons arrivaient. Une boisson de pré-départ a été servie juste après l’embarquement, mais après cela, je n’ai reçu la première série de boissons que plus d’une heure après le décollage, et j’ai trouvé le Champagne particulièrement modeste.

Une sélection de canapés est arrivée cinq minutes après, avec mon deuxième verre, un verre de rose turque.

Un agent de bord a mis ma table 20 minutes plus tard, y compris la bougie LED signature de Turkish et ma sélection de pains dans un panier bien garni.

J’ai vraiment apprécié l’attention portée aux détails au moment du repas, jusqu’à ces adorables salières et poivrières qui avaient même de petits aimants au fond pour qu’elles ne tombent pas du plateau.

Le chariot d’apéritif a atteint ma rangée après encore 20 minutes. Le plateau supérieur était vide et les crevettes et le rôti de bœuf au menu avaient disparu.

Il y avait encore plus qu’assez de choix, cependant. Honnêtement, cela aurait pu être mon repas complet, surtout avec la soupe de citrouille incroyablement riche et délicieuse.

Mon steak est arrivé 25 minutes plus tard, à quel moment j’ai demandé un verre de Bordeaux. L’agent de bord a apporté un verre de vin rouge après quelques minutes de plus, après avoir déjà fini mon steak, mais il avait un goût très sucré. Pourtant, il a insisté sur le fait qu’il s’agissait bien de Bordeaux avant d’admettre plus tard qu’il m’avait accidentellement versé du porto. Pas la fin du monde, mais il a également négligé d’apporter l’eau que j’avais demandée, ce qui m’a plus déçu.

Puis, près de trois heures après le décollage, le chariot à dessert est arrivé.

J’étais bourré jusqu’aux branchies, mais je n’ai pas pu résister à l’assortiment de friandises turques, qui étaient toutes exceptionnelles.

Peu de temps après le service de repas, un agent de bord a mis en place une collation dans la cuisine. Le turc n’offre pas de collations chaudes entre les repas, mais j’avais à peine faim après notre festin.

J’avais soif, cependant, alors j’ai appuyé sur mon bouton d’appel et demandé un verre de scotch Glenfiddich âgé de 15 ans.

Environ deux heures et demie avant l’atterrissage, il était temps pour le deuxième repas.

L’assortiment d’entrées a été suivi rapidement par mon repas chaud choisi, une délicieuse aubergine farcie de bœuf haché.

Service

Turkish est l’un des rares transporteurs à assurer des vols avec des chefs à bord, ce qui, en théorie, se traduit par des repas en vol cohérents et de meilleure qualité. Cela a certainement semblé payer ici, tout comme l’incomparable Do & Co catering.

Le service des boissons était nettement moins prioritaire, cependant: L’équipage n’a jamais offert de recharges de manière proactive et n’a pas apporté quelques boissons que j’ai demandées. Le mélange de vin était inattendu, aussi.

Un autre point mineur de frustration a été le fait que l’équipage a verrouillé les vitres du Dreamliner dans le mode le plus sombre. Un agent de bord a déverrouillé le mien lorsque j’ai demandé, mais j’aurais aimé pouvoir « ouvrir » la fenêtre un peu plus tôt dans le vol.

Tout le monde avec qui j’ai interagi était amical, cependant, et quelques agents de bord m’ont même adressé leur nom.

Impression générale

Ce fut certainement l’une de mes meilleures expériences de vol transatlantique, malgré les petits problèmes de service. Trois heures, c’est assez long pour passer un repas, mais avec un voyage de 12 heures à l’avance, cela a finalement aidé à passer une partie de ce temps.

Il ne fait aucun doute que le Dreamliner – et le siège d’affaires bien amélioré de Turkish — ont rendu le voyage encore plus spécial. Je suis impatient d’une autre expérience turque en classe affaires bientôt!

Toutes les photos de l’auteur.

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